petit délire menottlandien

désolée par avance ça c'était un grand délire avec Brooke ! tu m'as pervertie c'est pas bien Brooke


Ce soir était le grand soir pour elle, elle était anxieuse et excitée, elle en avait tant entendu parlé, que depuis quelques jours c’était devenu une fixation. Elle réajusta sa mini jupe, lissa son top qui laissait apparaître ses épaules dénudées, inspira longuement, puis poussa la lourde porte. « L’animal » était là, imposant, majestueux, élégant et tellement envoûtant. Elle sentit le rouge lui monter aux joues quand elle croisa son regard. Ses yeux bleus étaient tendres et sensuels. Un grand frisson la parcourut de haut en bas. Soudain, un doute l’envahit, et si elle n’y arrivait pas ? Elle s’avança lentement sa respiration était tout à coup très rapide, elle avait du mal à déglutir. Lentement elle tendit sa main vers sa musculature imposante, a travers sa peau chaude elle pouvait sentir ses muscles tressaillir. Sa main glissa méthodiquement afin de caresser chaque parcelle de cette peau tannée par l’expérience. Elle descendit progressivement sa main à la recherche de l’objet tant convoité, un souffle rauque lui permit de comprendre que ses attentions étaient plutôt appréciées. Elle se baissa tout doucement pour ne pas perdre l’intensité de ses caresses et couper court au charme instauré. Mais sa position était inconfortable, de son autre main elle attrapa une caisse, tout en continuant à prodiguer ses soins particuliers. Elle s’installa, un sourire radieux illuminait son visage, ça y était presque elle touchait au but. Elle saisit l’appendice qu’elle fit glisser dans sa main. Elle effectua un petit mouvement de va et vient, lentement puis plus intensément. Elle le pressa puis tira dessus légèrement. Elle était maladroite elle le savait mais peu importe elle n’allait pas abandonner maintenant. Elle souffla, expédiant tout l’air contenu dans ses poumons, il fallait qu’elle se calme, qu’elle évacue son stress. Pour plus de commodités elle se rapprocha un peu plus, tête en avant. Son front toucha sa peau nue, un nouveau frisson irradia tout son corps. Elle reprit ses mouvements lentement, délicatement, il ne fallait pas lui faire mal. Au bout de quelques minutes, alors qu’elle pressait tendrement l’appendice, elle obtint ce qu’elle attendait tant. Un petit jet de liquide blanc s’échappa. Alors conscience de sa réussite elle intensifia et s’enhardit à faire des mouvements plus prestes et rapides.
Soudain, la porte s’ouvrit dans un bruit fracassant :

- Alors ma petite ça y est ! ! ! Tu as réussi ! ! tu as traie ta première vache ! ! ! !

mais bien sûr... c'est pas plutôt l'inverse ?!!!!! c'est toi qui m'a perverti !

ah quel grand moment avec ce délire, je suis sûre qu'il y en a deux qui s'en souviennent encore

vous l'êtes tous les deux oui

Super le délire

Jai trop adoré je me rappellerai de celle là...

Excellente celle-là, je ne me lasserai pas de la relire encore et encore tellement c'est bien amené!